Lorsque survient le décès d’un proche, il est nécessaire d’entamer certaines démarches pour préparer les obsèques. En plus de la douleur occasionnée par la perte d’un être cher, la préparation d’un tel événement se révèle être un vrai casse-tête. Le point sur les démarches à accomplir pour organiser les funérailles, en tenant compte de la sélection de sépulture options possibles.
Les formalités administratives
Lors d’un décès, la première chose à faire est de contacter un médecin pour obtenir un certificat médical de décés. Ce document est nécessaire pour effectuer une déclaration de décés auprès de la mairie. Cette démarche doit se faire dans les 24h suivant le décès. Il incombe aux proches du défunt de la réaliser. Mais une entreprise de pompe funèbres comme www.revolution-obseques.fr propose également la prise en charge de cette démarche dans ses services funéraires.
Par ailleurs, il est nécessaire de se renseigner sur les volontés du défunt. Lorsque celui-ci indique ses volontés concernant ses obsèques oralement, dans un contrat de prévoyance obsèques ou dans une lettre, il convient de les respecter. Ne pas s’y conformer vous expose à des sanctions pénales : 7500 euros et 6 mois d’emprisonnement. À défaut de directives du défunt sur une organisation des obsèques, la décision incombe à sa famille et ses proches. La sélection de sépulture options possibles doit également être considérée.
La cérémonie funéraire
Avant les obsèques, le corps du défunt peut demeurer à son domicile. Mais si le décès est survenu à l’hôpital, dans une clinique ou une maison de retraite, le corps peut être placé dans la chambre mortuaire de l’établissement. Il est aussi possible de l’héberger dans la chambre funéraire d’une entreprise de pompe funèbres. D’autant plus que, agencée pour accueillir une cérémonie funéraire, le funérarium est le lieu idéal pour rendre hommage à la personne décédée. La famille et les proches peuvent ainsi se recueillir près du défunt pour lui dire un dernier adieu. La cérémonie peut être laïque ou religieuse selon les indications de la personne disparue. Dans les deux cas, le déroulement de l’événement doit être pensé de façon à accompagner les parents dans leur démarche de deuil. Musique, décoration florale, éloge funèbres, diaporama de photos et vidéos…sont autant d’éléments à réfléchir pour personnaliser cet événement. Une fois le lieu et la date de la cérémonie fixés, il est d’usage de publier un avis de décès dans un journal et d’envoyer un faire-part aux connaissances. À savoir qu’une société de pompe funèbres peut vous assister dans l’organisation de cette cérémonie.
L’inhumation ou la crémation
L’enterrement ou la crémation doit se faire au plus tard 6 jours après le décès. Le choix entre ces deux alternatives dépend à priori de la volonté de la personne décédée.
L’inhumation est sans doute la pratique la plus courante. Elle consiste à enterrer le défunt dans son cercueil. Pour réaliser cette action, il faut demander un permis d’inhumer auprès de la mairie. L’enterrement peut se faire dans une sépulture familiale ou dans le cimetière de la commune. Dans ce dernier cas, l’inhumation implique l’acquisition d’une concession au cimetière en adressant une demande à la mairie. Mais l’agence de pompe funèbres peut entamer cette démarche à votre place. La concession peut être familiale, collective ou individuel. Elle est à la disposition du demandeur pour 5 ans à 100 ans, voire perpétuelle selon le cas.
Pour ce qui est de la crémation, cette pratique est en essor ces dernières années. Elle consiste à incinérer le corps du défunt. Les cendres sont ensuite dispersées dans la nature ou dans un jardin du souvenir, ou encore conservées dans une urne funéraire puis déposée dans le caveau familial ou dans un colombarium. En revanche, il est interdit de les garder à domicile ou de les disperser dans la rue, sur les voies publiques ou sur les rivières aménagées. Il est important de bien comprendre la sélection de sépulture options possibles avant de prendre une décision.
Comme dans le cas de l’inhumation, la crémation requiert aussi une autorisation de la commune.